Marie POURCHOT maitrise l’art textile.

MARIE POURCHOT

Marie est mariée et a formé une véritable famille d’artistes, où l’art s’exprime de toutes les façons : musique, origamis, dessins, peintures, mosaïques… et d’immenses tableaux créés par Marie recouvrent leurs murs.

Si je connaissais ses tableaux, quelle joie de les retrouver sur les murs de la ville ! Marie colore la ville grâce à son imagination et ses broderies.

Comment pensez-vous que les autres vous perçoivent ?

« Je ne sais pas trop, probablement quelqu’un d’excentrique. »

Comment vous trouve-t-on sur le net ?

« Par mon site: www.marie-pourchot.com ou instagram: marie.pourchot ou Facebook au même nom…. »

Que faites-vous dans la vie ?

« De l’art textile, broderie, linogravure, peinture et collage (street art). »

Où exercez-vous ?

« A Montpellier pour la création et partout pour les expositions. »

Qu’est-ce-qui vous motive ou vous inspire pour le faire ?

« Les questions anthropologiques, la psychologie humaine mais aussi la vie quotidienne, les couleurs et motifs, l’architecture, la photo. Mais aussi les matières, les textiles, les tapis, les fils, les perles, la peinture et les gens! »

Qu’est-ce qui a été le plus difficile à combattre dans la réussite de votre entreprise ?

« L’art est en quelques sortes un combat permanent avec soi-même! Mais de façon plus générale, faire entendre une démarche artistique qui requiert beaucoup de temps et une productivité très lente dans une époque où tout est très rapide »

À l’inverse, qu’est-ce qui aurait pu vous aider ou aurait pu vous être utile ?

« Ce qui aurait pu être utile: plus de temps, plus d’espace. Ce qui m’a aidé: quitter un job alimentaire et surtout avoir une famille très prévenante, encourageante et compréhensive »

Montpellier est la 7e ville de France, mais encore ? Quelle définition de la ville proposeriez-vous ?

« Une ville très intéressante par son manque d’identité dominante, une ville multiculturelle en plein carrefour géographique. Une ville de passage telle qu’elle a toujours été, mais une ville colorée. »

Pourquoi vous être installé là ?

« Initialement pour suivre des études de langues et par la suite d’ethnologie. »

Que feriez-vous pour améliorer la ville ?

« Créer une dynamique plus accessible autour des arts visuels, au delà de l’art conceptuel. »

Où prendre l’air ?

« Sur la plage de Villeneuve les Maguelone! A vélo sur le canal du Rhône à Sète! Ou dans un premier temps au Jardin des plantes. »

Où apprendre, se cultiver ?

« Partout! Tout est question de curiosité. Aussi bien au cinéma que dans la Chapelle de la Miséricorde, qu’au musée de la pharmacie, que sur les murs de la ville, qu’une conférence à la Panacée, au bistrot des ethnologues, au musée d’art brut ou bien au comptoir du bar des amis! »

Où bouger ?

« Au musée d’art brut, la panacée, musée Fabre, pavillon populaire, chapelle de la miséricorde, musée de la pharmacie, jardin des plantes, la mer, le quartier méditerranée pour le street art. »

Quelle est votre soirée fille, et où ?

« Au bar, j’aime l’ambiance des bars et plus ils sont vieux et authentiques, plus je les apprécie. Mais j’en change régulièrement. Il y a le bar des amis, le triskell, le comptoir de l’arc, le bar de la vieille porte, le chabaneau… »

À chacun ses restaurants, quels sont ceux que vous conseillez pour une ambiance familiale, romantique, afterwork, ou manger sur le pouce ?

« Les ritals, le Ban thaï, le sweet rice, le Ban Lao, Escale au liban… »

Et les cadeaux, où les dénichez-vous ? 

« A la librairie la géosphère ou la Cavale, ou encore les petites boutiques du centre-ville »

Où emmenez-vous vos invités pour leur faire découvrir Montpellier et sa région ?

« Dans le centre-ville de Montpellier, puis Sète, Villeneuve les Maguelone et le Cévennes (les vraies). »

Que faire avec des enfants ?

« Aller au jardin des plantes, à la mer, au cinéma Diagonal, au musée d’art brut. »

Une cause ou une personne vous tient à cœur: laquelle ? Et comment la soutenir ?

« J’aimerais que le statut d’artiste soit plus reconnu et que nous arrêtions de devoir payer des sommes incommensurables pour avoir une visibilité alors que ce devrait être l’inverse. Il y a également de nombreuses causes auxquelles je ne suis pas insensible comme l’environnement, la misère. »

Et vous, présentez-vous à nous.

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